J'avais réagi, le mois dernier, à un article du site Madagascar Tribune où un certain Ny Ando R. s'indignait de voir l'œuvre de Jean-Joseph Rabearivelo "confisquée" par des chercheurs étrangers en vue d'une édition intégrale.
Liliane Ramarosoa, qui fait partie de l'équipe éditoriale - et qui, faut-il le rappeler? est bien malgache - répond à son tour sur le même site, dans une tribune qui possède, entre autres intérêts, celui de préciser la teneur et la portée du projet.
Un discours peut en cacher un autre, titre-t-elle avec pertinence.
Il faut lire cet article qui constitue, je l'espère, une mise au point définitive sur le début d'une polémique superflue. Sa conclusion me réjouit tout particulièrement:
Liliane Ramarosoa, qui fait partie de l'équipe éditoriale - et qui, faut-il le rappeler? est bien malgache - répond à son tour sur le même site, dans une tribune qui possède, entre autres intérêts, celui de préciser la teneur et la portée du projet.
Un discours peut en cacher un autre, titre-t-elle avec pertinence.
Il faut lire cet article qui constitue, je l'espère, une mise au point définitive sur le début d'une polémique superflue. Sa conclusion me réjouit tout particulièrement:
Mais au bout du compte, il faut remercier ce Ny Ando R. et tous ceux qui hurlent avec les loups de leurs discours réducteurs. Ils prouvent combien Rabearivelo est intemporel, comme tout grand auteur. Il faut voir en effet - on pourra le lire bientôt dans les Calepins bleus! - comment cet esprit libre et ce génial précurseur a su régler leur compte, avec quel talent et quelle élégante férocité, à tous les «Diafoirus» de tous les cieux et de tous les temps.
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