Quelques secondes, mon cœur s'est arrêté de battre, quand je suis arrivé à la page nécrologie des Nouvelles de ce matin. D'abord, le refus d'y croire. C'est pourtant là, devant les yeux: les membres de la famille de Nivoelisoa Galibert font part de son décès survenu le 7 janvier 2011 à Bordeaux à l'âge de 57 ans...
Dur à avaler.
La veille de sa mort, elle intervenait encore dans le groupe Facebook Boky, lieu d'échanges d'informations sur les livres à propos de Madagascar. Nivo était un puits de science, elle partageait tout ce qu'elle savait, photographiait ses livres pour en donner les références, avec la précision d'universitaire qui était la sienne.
Ses publications, articles innombrables et quelques ouvrages, resteront des pistes de travail pour bien des chercheurs. En particulier son indispensable Chronobibliographie analytique de la littérature de voyage imprimée en français sur l'Océan Indien (Madagascar, Réunion, Maurice) des origines à 1896.
Je l'avais rencontrée pour la première fois en 1997, lors d'un colloque à l'Université de Tana. Son enthousiasme et ses connaissances m'avaient autant impressionné que sa gentillesse et sa disponibilité. Depuis, le contact ne s'était jamais rompu. Il a fallu que Nivo disparaisse pour prendre conscience de la place immense qu'elle occupait...
Dur à avaler.
La veille de sa mort, elle intervenait encore dans le groupe Facebook Boky, lieu d'échanges d'informations sur les livres à propos de Madagascar. Nivo était un puits de science, elle partageait tout ce qu'elle savait, photographiait ses livres pour en donner les références, avec la précision d'universitaire qui était la sienne.
Ses publications, articles innombrables et quelques ouvrages, resteront des pistes de travail pour bien des chercheurs. En particulier son indispensable Chronobibliographie analytique de la littérature de voyage imprimée en français sur l'Océan Indien (Madagascar, Réunion, Maurice) des origines à 1896.
Je l'avais rencontrée pour la première fois en 1997, lors d'un colloque à l'Université de Tana. Son enthousiasme et ses connaissances m'avaient autant impressionné que sa gentillesse et sa disponibilité. Depuis, le contact ne s'était jamais rompu. Il a fallu que Nivo disparaisse pour prendre conscience de la place immense qu'elle occupait...
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