Une belle idée de Charles Gassot, qui est à l'origine d'Écoles du monde - Madagascar et est toujours président de cette ONG. Si je résume bien sa pensée, telle que je la trouve exprimée sur une page du site et dans un article du Monde daté d'aujourd'hui: les briques étant le matériau de base avec lesquelles se construisent les écoles à Madagascar, transformons-les en œuvres d'art pour leur donner une plus grande valeur, et vendons-les au profit de l'ONG.
Au-delà des deux exemples qui illustrent cette note, l'ensemble du projet est présenté ainsi:
100 artistes de Soulages à Sempé, de Monory à Bilal, de Garouste à Moebius en passant par Bettina Rheims, Bernar Venet, Yann Kersalé… ont tous répondu à l'appel de Charles Gassot et de François Tajan. Ils n'ont pas simplement décroché un tableau de leur mur, ils ont chacun créé une œuvre à partir d'un support similaire: une brique en terre ocre de 30 x 15 cm pesant 5 kg.
Chaque brique révèle l'écriture personnelle de l'artiste et leur confrontation montre la richesse de la création contemporaine, mais toutes sont estimées au même prix de départ de 500€.
Comme on assemble des briques pour construire une maison, cette action rassemble des hommes et des femmes de tous horizons: les presses-à-brique sont réalisées par les détenus de la prison de Liancourt et envoyées à Madagascar où sont fabriquées les briques. Servant de support aux plus grands artistes contemporains, leur vente permettra de construire des écoles dans la brousse malgache où le manque de scolarisation est un frein constant au développement et à la sauvegarde des richesses naturelles du pays.
Avant la vente, une exposition des 100 briques pour Madagascar aura lieu pendant le week-end au Marteau , les 26 et 27 mars, chez Artcurial (Briest - Poulain - F.Tajan).
On peut voir l'ensemble du catalogue sur un site dédié. Et la vente, pour ceux que cela intéresse, se déroulera le lundi 28 mars à 20h30 à l'Hôtel Dassault (7, Rond-Point des Champs-Élysées, 75008 Paris).
Au-delà des deux exemples qui illustrent cette note, l'ensemble du projet est présenté ainsi:
100 artistes de Soulages à Sempé, de Monory à Bilal, de Garouste à Moebius en passant par Bettina Rheims, Bernar Venet, Yann Kersalé… ont tous répondu à l'appel de Charles Gassot et de François Tajan. Ils n'ont pas simplement décroché un tableau de leur mur, ils ont chacun créé une œuvre à partir d'un support similaire: une brique en terre ocre de 30 x 15 cm pesant 5 kg.
Chaque brique révèle l'écriture personnelle de l'artiste et leur confrontation montre la richesse de la création contemporaine, mais toutes sont estimées au même prix de départ de 500€.
Comme on assemble des briques pour construire une maison, cette action rassemble des hommes et des femmes de tous horizons: les presses-à-brique sont réalisées par les détenus de la prison de Liancourt et envoyées à Madagascar où sont fabriquées les briques. Servant de support aux plus grands artistes contemporains, leur vente permettra de construire des écoles dans la brousse malgache où le manque de scolarisation est un frein constant au développement et à la sauvegarde des richesses naturelles du pays.
Avant la vente, une exposition des 100 briques pour Madagascar aura lieu pendant le week-end au Marteau , les 26 et 27 mars, chez Artcurial (Briest - Poulain - F.Tajan).
On peut voir l'ensemble du catalogue sur un site dédié. Et la vente, pour ceux que cela intéresse, se déroulera le lundi 28 mars à 20h30 à l'Hôtel Dassault (7, Rond-Point des Champs-Élysées, 75008 Paris).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire