C’est «un grand photographe très connu des américanistes», indique Christine Barthe, commissaire de l’exposition, mais dont on «publie toujours la même quarantaine d’images». L’exposition, qui entend montrer un aspect plus large du travail de Désiré Charnay, s’attache particulièrement à quelques expéditions réalisées entre 1857 et 1886, au Mexique surtout, mais aussi Madagascar, Java ou l’Australie.
(La Nouvelle République)
Trop longtemps oublié, Désiré Charnay ; et pourtant, en 1862, son album photographique Cités et ruines américaines, publié à l'issue d'un voyage de trois ans au Mexique, est préfacé par Viollet-le-Duc, une caution morale à ce travail « scientifique » selon les normes d'une époque qui voyait des aventuriers archéologues défricher les sites antiques. L'album apporte une reconnaissance immédiate à Charnay qui devient le photographe officiel des ruines mexicaines. Il en offre un exemplaire à l'empereur Napoléon III.
(Le Figaro)
(Le Monde)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire