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January 17, 2008

Roman Vrac : revue de presse


La trilogie romanesque de Jean-Claude Mouyon est en librairie à Madagascar depuis quelques jours et la presse commence à le faire savoir.
Roman Vrac, je le rappelle pour ceux qui n'auraient pas suivi, a été imprimé à Tana et il s'agit donc de la première production authentiquement malgache de la Bibliothèque du même nom. Et, même si l'auteur est vazaha (l'éditeur aussi, d'ailleurs), c'est bien du pays où nous vivons et que nous aimons, lui et moi, qu'il est question. Du Sud en particulier puisque le slogan trouvé pour promouvoir le livre (et dont je suis, ma foi, assez satisfait) est:

LE SUD COMME VOUS NE L'AVEZ JAMAIS LU !

Aujourd'hui sont parus des articles dans Les Nouvelles et La Gazette de la Grande Ile. Il y en a, il y en aura peut-être d'autres (une journaliste du Quotidien m'a téléphoné hier soir mais cet organe de presse n'est déjà plus disponible dans mon quartier). Je vous le dirai dans la mesure où je le sais, bien entendu.
Si vous voulez les lire et que vous n'avez pas les journaux sous la main, j'en ai enregistré des copies dans la rubrique "photos" du groupe Yahoo Bibliothèque malgache. Il faut être membre pour consulter cette partie du site - une procédure pour laquelle il suffit de suivre les indications qu'on vous donne.
Par ailleurs, l'intégralité du communiqué de presse que j'avais envoyé aux différentes rédactions a été reprise sur le site de Madanight, où vous pouvez le consulter.
Voilà, il ne vous reste plus qu'à passer chez votre libraire préféré et à acheter le livre.

D'autre part (ça n'a rien à voir), je peux d'ores et déjà vous annoncer une surprise plutôt agréable pour lundi...

November 16, 2007

Revue de presse - Ratsimamanga, Malgache du 20e siècle

La présentation du livre de Suzy Andrée Ramamonjisoa, Albert Rakoto Ratsimamanga et moi. 1. L'héritage s'est déroulée mercredi matin au CEMDLAC en présence d'une assistance fournie.
Une partie de celle-ci était faite de journalistes des principaux médias de Madagascar, qui n'ont pas manqué de répercuter l'information dans leurs organes de presse. Je n'ai peut-être pas vu tous les journaux, mais j'en ai regardé beaucoup. Pour y dénicher dix articles, en malgache et en français, parus entre mercredi et aujourd'hui. C'est trop pour les montrer ici sans ralentir considérablement l'affichage de cette page.
Je les ai donc scannés et rangés (mon légendaire sens du rangement!) dans un album photo du groupe Yahoo Bibliothèque malgache
J'invite donc les personnes qui veulent en prendre connaissance à s'inscrire au groupe et à consulter la rubrique "photos" où vous trouverez, dans l'album intitulé Ratsimamanga, l'intégralité de ces articles.
Et, pour rappel, rendez-vous au CCAC demain à 10h30 (ce samedi 17 novembre) au CCAC dans le cadre d'un forum littéraire (entrée libre) consacré à la Bibliothèque malgache. Des livres et des CD (reprenant la totalité des textes libres de droits disponibles) seront en vente.

August 27, 2007

Revue de presse

Les Nouvelles publient, ce matin, un article consacré à la Bibliothèque malgache. J'ignore si cet article est illustré et comment, la version papier ne m'arrivera que tout à l'heure.
C'est en tout cas la première fois que paraît, dans la presse malgache, autre chose que les communiqués rédigés par moi-même. C'est bien. Même si cela m'oblige, pour que les choses soient claires, à préciser certains points, après l'article. Que voici, tel quel.

La bibliothèque malgache version papier

Depuis le 25 juillet, Pierre Maury, journaliste et critique littéraire, s'est mis à l'édition. L'affaire ne date pas de ce jour. En octobre 2006, il crée l' «e-book», sur Internet ; Entendez par là, la possibilité pour un lecteur assidu et intéressé par les publications sur Madagascar, de lire ou de télécharger des livres qui se font rares, voire introuvables. Il a pu réaliser ce concept grâce à des éditions «libre de droit», c'est-à-dire exempt de tout droits d'auteur. Une dizaine de titres étaient proposés aux lecteurs. Après des mois et 3000 visiteurs demandeurs, il décide de passer à la vitesse supérieure.
Une demande croissante
Le prix du papier a appauvri le marché du livre. Or un vrai lecteur tient à tenir dans ses mains un vrai livre. Pour eux, Pierre Maury décide de poser ces romans et études sur papier. Pour ce faire, il étudie avec un éditeur de renom basé aux Etats-Unis et ayant des représentations en Europe le coût de cette opération. Cette société d'édition répondant au nom de Lulu.com, est capable d'éditer des livres à moindre coût de par la masse de ses commandes (15 euros au lieu de 190)
Les auteurs contemporains aussi
Par cette initiative, c'est une réédition d'ouvrages écrits par des auteurs souvent méconnus que Pierre Maury veut défendre. Encore en cours d'évaluation pour savoir si les imprimeries locales peuvent produire à moindre coût, il souhaite aussi favoriser la production d'auteurs contemporains malgaches et espère participer à sa manière à la redynamisation de l'industrie du livre. Tout auteur intéressé par cette relance peut taper le site bibliothèque malgache.com, pour de plus amples informations. «Les Nouvelles» participe à sa façon à cette entreprise en publiant tous les jours à ses lecteurs quelques lignes d'un ouvrage intitulé «Magie et diplomatie à la cour de Madagascar» écrit par Marius Cazeneuve, dès ce jour.
Renée Raza
Les Nouvelles, lundi 27 août 2007.

Et voici les indispensables mises au point:
La Bibliothèque malgache électronique compte actuellement 29 titres téléchargés, au total, 12721 fois. Le prix de revient d'un ouvrage papier chez Lulu.com est, en réalité, variable. J'ai payé en effet 15 euros le volume en moyenne, frais de port compris, pour les six premiers titres commandés et envoyés ensemble à Madagascar. J'ignore d'où vient le chiffre de 190...? Quant au site "bibliothèque malgache.com", à ma connaissance, il n'existe pas. La véritable adresse est celle où vous vous trouvez.

KoolSaina.com

November 23, 2006

Revue de presse / Bibliothèque malgache (suite)

Je n'ai pas passé mon temps à dépouiller l'ensemble de la presse. Et j'ai peut-être raté quelque chose. Toujours est-il que, lundi 20 novembre, Les Nouvelles reprenaient l'intégralité du communiqué que j'avais envoyé en guise de faire-part de naissance de la Bibliothèque malgache.
Aujourd'hui, le même texte a été publié par Madanight. C'est tout frais en page d'accueil pour l'instant, donc vers le haut de l'écran. Quand la tension de l'information, ce parfait piège à journalistes, sera retombée sur ce sujet, je pense que vous pourrez retrouver ce communiqué ici.

November 19, 2006

Revue de presse / Bibliothèque malgache


Cette fois, j'ai commencé à faire savoir que la Bibliothèque malgache existait. Et les journaux ont commencé à réagir, la preuve par La Gazette de la Grande Ile et L'Hebdo, avec des articles parus samedi. Ce n'est pas très lisible ici, bien entendu, mais je veux seulement faire partager le plaisir que j'éprouve à voir cette initiative accueillie avec enthousiasme. Notez que La Gazette a cru utile d'annoncer l'article en Une.

November 13, 2006

Revue de presse / 13 novembre

Culture et politique se mêlent un peu aujourd’hui en raison de l’ouverture, hier, de la campagne électorale pour l’élection présidentielle – premier tour le 3 décembre –, la propagande, comme on dit ici. Les candidats rameutent (et paient) en effet des artistes en comptant sur la popularité de ceux-ci pour mobiliser les foules. Artistes qui, ont précisé certains de leurs représentants avant l’ouverture de cette « propagande », ne s’engagent pas en faveur des candidats aux meetings desquels ils se produisent. Artistes mercenaires, donc, évoqués dans Le Quotidien aujourd’hui : « Les artistes ont fait montre de grand professionnalisme hier lors de l’animation de la cérémonie d’ouverture de la campagne électorale de Marc Ravalomanana dans l’enceinte du Magro Ankorondrano. » Et dans Midi Madagasikara : « Mais les propagandes, mis à part l’aspect politique de la chose, sont aussi une période très récréative pour le public et lucrative pour les artistes. Déjà hier, des artistes comme Ndondolah sy Tahiry, Tovo J’hay, Lego, Backom le Rasta, Mamy Gotso, Riviera, Njakatiana, Jerry Marcoss, et bien d’autres, ont offert à la foule, d’Ambohidratrimo à Mahamasina, en passant par Andavamamba et Ankorondrano, des prestations hautes en couleurs. »
Hors campagne électorale, élus depuis plus de trente ans par les cœurs des malgaches, les membres du groupe Mahaleo se produisaient hier au Hilton de Tana pour un concert privé. Le journaliste de Tribune y a été accueilli fraîchement : « grande fut notre surprise quand un des responsables nous a interdit d’entrer parce que nous n’étions pas invité, paraît-il. Ce qui était évidemment vrai mais s’agissant d’un spectacle annoncé dans les médias et à renfort de publicité, il nous semblait logique de couvrir l’événement. Après négociation, nous avons pu quand même accéder dans la salle, mais avec une recommandation des organisateurs de limiter notre temps de présence à quelques minutes, le temps de prendre des photos. Ce qui est aussi tout à fait logique et c’est d’ailleurs ce que nous avons l’habitude de faire, mais l’organisateur en question, un profane sans nul doute, l’ignorait. » Mine de rien, c’est un scoop : les articles que nous lisons sur des spectacles reposeraient parfois sur un jugement de quelques minutes ?
Retour sur spectacle passé, aussi, dans L’Express, à propos de la pièce de Bernard-Marie Koltès présentée vendredi dernier au CCAC : « Par sa verve, Dieudonné a su capter l'audience et donner aux mots de Bernard-Marie l'amplitude nécessaire au désespoir et à l'ouverture que peuvent engendrer certaines rencontres. »
Et ouverture internationale pour des artistes malgaches avec Benja Gasy en France ces jours-ci (L’Express) et M’Tsta, un groupe de rappeurs de Mahajanga, au cinquième forum pour le développement de l’Afrique en Ethiopie (Les Nouvelles).