Malgré le contexte dans lequel se trouve Madagascar depuis des mois, les promoteurs de festivals continuent à rassembler artistes et public, dans un combat d'autant plus nécessaire que les circonstances le rendent plus difficile.
Angaredona s'est terminé ce week-end. Rajery, avec d'autres, a réussi à donner vie au pari de départ, car c'en était un: proposer une programmation musicale originale qui nous change des cabarets (je n'ai rien contre les cabarets). Porté par sa notoriété internationale ainsi que par son charme naturel, le valihiste s'est fait animateur. Pour le meilleur.
Qui aurait cru par ailleurs que Gaby Saranouffi (photo) parviendrait à faire d'I'Trôtra davantage qu'un événement local? Honnêtement, pas moi. Je me souviens encore de ses craintes des débuts, quand elle confectionnait laborieusement un dossier pour la recherche de partenaires. Mais il ne fallait pas sous-estimer son énergie. Il fallait aussi tenir compte de l'expérience internationale qu'elle a accumulée comme danseuse et chorégraphe. Si bien que la sixième édition de son festival touche maintenant, après des rencontres et des ateliers studieux, à ses meilleurs moments, pour le public au moins, à partir de l'ouverture officielle qui aura lieu mercredi au CCAC.
Quant à Madajazzcar, c'est une véritable institution. Désiré Razafindrazaka peut être fier d'en présider la vingtième année. De partager une fois encore son goût pour une musique plus éclectique qu'on veut souvent le dire. Et de faire découvrir des artistes en provenance de huit pays, du 5 au 17 octobre.
Oui, c'est vraiment le temps des festivals...
Angaredona s'est terminé ce week-end. Rajery, avec d'autres, a réussi à donner vie au pari de départ, car c'en était un: proposer une programmation musicale originale qui nous change des cabarets (je n'ai rien contre les cabarets). Porté par sa notoriété internationale ainsi que par son charme naturel, le valihiste s'est fait animateur. Pour le meilleur.
Qui aurait cru par ailleurs que Gaby Saranouffi (photo) parviendrait à faire d'I'Trôtra davantage qu'un événement local? Honnêtement, pas moi. Je me souviens encore de ses craintes des débuts, quand elle confectionnait laborieusement un dossier pour la recherche de partenaires. Mais il ne fallait pas sous-estimer son énergie. Il fallait aussi tenir compte de l'expérience internationale qu'elle a accumulée comme danseuse et chorégraphe. Si bien que la sixième édition de son festival touche maintenant, après des rencontres et des ateliers studieux, à ses meilleurs moments, pour le public au moins, à partir de l'ouverture officielle qui aura lieu mercredi au CCAC.
Quant à Madajazzcar, c'est une véritable institution. Désiré Razafindrazaka peut être fier d'en présider la vingtième année. De partager une fois encore son goût pour une musique plus éclectique qu'on veut souvent le dire. Et de faire découvrir des artistes en provenance de huit pays, du 5 au 17 octobre.
Oui, c'est vraiment le temps des festivals...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire