"A ma connaissance, c’est la première fois qu’une bande d’écocitoyens sans moyens, sinon un ordinateur et l’accès à internet, stoppe un business de 220 millions de dollars", résume une des personnes rencontrées par Pierre-Laurent Mazars, envoyé spécial du Journal du dimanche à Antananarivo et Sambava. Son sujet, pour inscrire Madagascar dans une série d'articles consacrés au cinquantenaire des Indépendances? Main basse sur la forêt, un thème que nous connaissons bien ici mais qu'il n'est jamais inutile de revisiter avec un œil extérieur...
3 mai 2010
Dimanche, c'est Madagascar - et son bois de rose
"A ma connaissance, c’est la première fois qu’une bande d’écocitoyens sans moyens, sinon un ordinateur et l’accès à internet, stoppe un business de 220 millions de dollars", résume une des personnes rencontrées par Pierre-Laurent Mazars, envoyé spécial du Journal du dimanche à Antananarivo et Sambava. Son sujet, pour inscrire Madagascar dans une série d'articles consacrés au cinquantenaire des Indépendances? Main basse sur la forêt, un thème que nous connaissons bien ici mais qu'il n'est jamais inutile de revisiter avec un œil extérieur...
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