C'est dans Livres Hebdo, la revue professionnelle du livre français: Malgré les dévaluations, écrit Huguette Rasoamananoro, directrice de CMPL à Isoraka, les librairies poursuivent tant bien que mal leur travail. Plutôt mal que bien, étant donné les circonstances. 2008 a été plutôt une bonne année pour sa librairie, raconte-t-elle, mais les dévaluations ont fait qu'au moment de régler les factures, celles-ci s'étaient alourdies. En 2009, situation de crise politique oblige, le chiffre d'affaires a considérablement diminué - jusqu'à 50% pour certaines librairies, écrit-elle.
L'avenir est incertain, des dettes courent toujours. La présidente de l'Association des libraires malgaches conclut: "Les libraires malgaches, qui saluent le lancement de la Charte du libraire francophone, souhaitent pouvoir continuer leur métier en prenant en compte tous les risques actuels, et espèrent la compréhension des éditeurs, des diffuseurs et des organismes culturels de soutien."
Puisse-t-elle être entendue...
L'avenir est incertain, des dettes courent toujours. La présidente de l'Association des libraires malgaches conclut: "Les libraires malgaches, qui saluent le lancement de la Charte du libraire francophone, souhaitent pouvoir continuer leur métier en prenant en compte tous les risques actuels, et espèrent la compréhension des éditeurs, des diffuseurs et des organismes culturels de soutien."
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