Les 7es Rencontres africaines de la photo se sont ouvertes à Bamako. Madagascar y est, cette année, bien représenté, en en particulier par Pierrot Men. Un artiste au talent fou mais dont la modestie est telle qu’il n’a jamais fait d’ombre à ses confrères malgaches. Un article de
Libération, ce matin, lui fait une place :
Mais à Bamako, il n’y a pas seulement des panoramas glacés et des fadas venus du nord. Dans l’autre grand musée de la capitale malienne, le Musée national, c’est la photographie africaine qui régale. Avec des travaux d’artistes de tous les pays, ou presque, du continent.
Par exemple, de superbes images noir et blanc finement composées du Malgache Pierrot Men, qui mêlent les hommes et leur environnement naturel, dans une ambiance tellurique, dramatique.
Libération, 4 décembre
A côté de lui, Maksim Seth était un autre grand, à l’aura internationale moindre sans doute, mais non négligeable. On lui rend hommage à Bamako :
En plus de l'exposition internationale dont les photos ont été choisies par un comité d'experts et qui constitue sans doute l'épicentre de l'événement, la Bibliothèque nationale accueille l'exposition dite « Hommage » qui, comme indique son intitulé rend hommage au travail de deux photographes récemment décédés : le Guyanais Serge Jongué et le Malgache Maksim Seth.
L’Essor, 26 novembre
Pour en finir avec cette rapide revue de presse, n’oublions pas que Sylvain Ralaivaohita, s’il pratique la danse, n’a pas laissé tomber la photo :
La diaspora africaine est représentée aussi, avec les vélos parisiens pris avec un téléphone portable par le Malgache Sylvain Ralaivaohita, l'Angleterre grisâtre du Ghanéen Salifu Oduro-Idriss ou les pavés urbains de la franco-algérienne Nadia Berkani.
Bamako rend par ailleurs hommage à deux photographes décédés, le Guyanais Serge Jongué et le Malgache Armand Seth Maksim.
France 2, 26 novembre
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