C'est dans L'Express de Madagascar aujourd'hui, et annoncé en page une: Jean-Luc Raharimanana revient sur les obstacles rencontrés par la pièce 47 que Thierry Bédard a tirée de son livre.
Sans remettre en cause le soutien que l'ambassade de France à Madagascar et le CCAC ont apporté à la création du spectacle, il s'interroge sur la manière dont la programmation de celui-ci a ensuite été écartée, de fait, d'une tournée dans la région.
Le titre donné à l'entretien par Hernan Rivelo, le journaliste qui a recueilli les propos de l'écrivain malgache, est clair: Jean-Luc Raharimanana: "La déprogrammation de 47 est une censure de fait".
Il faut lire l'article. En voici quelques mots, à propos de la mémoire:
Sans remettre en cause le soutien que l'ambassade de France à Madagascar et le CCAC ont apporté à la création du spectacle, il s'interroge sur la manière dont la programmation de celui-ci a ensuite été écartée, de fait, d'une tournée dans la région.
Le titre donné à l'entretien par Hernan Rivelo, le journaliste qui a recueilli les propos de l'écrivain malgache, est clair: Jean-Luc Raharimanana: "La déprogrammation de 47 est une censure de fait".
Il faut lire l'article. En voici quelques mots, à propos de la mémoire:
La mémoire ne fait-elle pas partie de l’identité d’un peuple ? Un régime totalitaire commence toujours par effacer la mémoire. Ainsi la colonisation a voulu nous faire croire que nous étions de jeunes pays, sans mémoire, sans passé, un pays à doter d’une culture moderne, celle du maître en définitive, installant ainsi la domination.
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