Je lis peu de bande dessinée. Cela n'a pas toujours été le cas. Mais le temps me manque et je suis donc moins attentif à ce pan de la production éditoriale. (Ne me dites pas que c'est une erreur, je sais.) Heureusement, ce blog a quelques lecteurs attentifs qui jouent, lorsque le besoin s'en fait sentir, un rôle de rabatteurs. C'est donc alerté par des commentaires que je suis allé voir un article de Mediapart intitulé: Maki, un lémurien en colo.
J'ai du même coup découvert l'existence de Fabrice Tarrin, dont je sais peu de choses sinon qu'il est un des nombreux dessinateurs à avoir travaillé sur les aventures de Spirou et Fantasio.
Un pan de sa production nous intéresse tout particulièrement puisqu'il a sorti en 2008 l'album dont je vous montre la couverture, Journal intime d'un lémurien.
Pour ce que j'en sais, après la lecture de quelques articles à propos de cet album, et si j'ai bien compris, le lémurien occupe ici une place aussi éloignée de Madagascar que la Grande Île est éloignée d'elle-même dans les films Madagascar. Vous me suivez? Je veux dire que Fabrice Tarrin n'a probablement pas choisi cet animal par amour de Madagascar mais parce qu'il lui trouvait une bonne bouille et que, pour se représenter lui-même, il valait mieux une bestiole sympathique. (J'interprète un peu.) Toujours est-il que le lémurien est devenu emblématique d'une œuvre qui se poursuit notamment sur son blog où les dernières notes (dessinées, comme il se doit) terminent une histoire intitulée Charlotte Gainsbourg mon amour, et où l'on retrouve, vous l'aviez deviné, un lémurien...
Fin janvier, Fabrice Tarrin a sorti un nouvel album, Maki: un lémurien en colo. Comme je n'ai jamais vu de lémurien en colo, même à Madagascar - et, forcément, encore moins ailleurs -, je suppose que l'auteur, toujours sous l'apparence d'un lémurien, revient sur des expériences personnelles. Où, une fois encore, notre île-continent ne semble pas être évoquée. (Je me base sur le résumé et les extraits de planches fournis par l'article de Mediapart évoqué plus haut.)
Bonne nouvelle, pour ceux qui aimeront ça ou qui collectionnent compulsivement toutes les représentations de lémuriens: il devrait y en avoir d'autres, puisque l'éditeur annonce l'album comme le numéro 1 d'une série.
A suivre, donc...
J'ai du même coup découvert l'existence de Fabrice Tarrin, dont je sais peu de choses sinon qu'il est un des nombreux dessinateurs à avoir travaillé sur les aventures de Spirou et Fantasio.
Un pan de sa production nous intéresse tout particulièrement puisqu'il a sorti en 2008 l'album dont je vous montre la couverture, Journal intime d'un lémurien.
Pour ce que j'en sais, après la lecture de quelques articles à propos de cet album, et si j'ai bien compris, le lémurien occupe ici une place aussi éloignée de Madagascar que la Grande Île est éloignée d'elle-même dans les films Madagascar. Vous me suivez? Je veux dire que Fabrice Tarrin n'a probablement pas choisi cet animal par amour de Madagascar mais parce qu'il lui trouvait une bonne bouille et que, pour se représenter lui-même, il valait mieux une bestiole sympathique. (J'interprète un peu.) Toujours est-il que le lémurien est devenu emblématique d'une œuvre qui se poursuit notamment sur son blog où les dernières notes (dessinées, comme il se doit) terminent une histoire intitulée Charlotte Gainsbourg mon amour, et où l'on retrouve, vous l'aviez deviné, un lémurien...
Fin janvier, Fabrice Tarrin a sorti un nouvel album, Maki: un lémurien en colo. Comme je n'ai jamais vu de lémurien en colo, même à Madagascar - et, forcément, encore moins ailleurs -, je suppose que l'auteur, toujours sous l'apparence d'un lémurien, revient sur des expériences personnelles. Où, une fois encore, notre île-continent ne semble pas être évoquée. (Je me base sur le résumé et les extraits de planches fournis par l'article de Mediapart évoqué plus haut.)
Bonne nouvelle, pour ceux qui aimeront ça ou qui collectionnent compulsivement toutes les représentations de lémuriens: il devrait y en avoir d'autres, puisque l'éditeur annonce l'album comme le numéro 1 d'une série.
A suivre, donc...
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