Il y a dix ans, pour autant que je ne me trompe pas dans le compte des années, j'animais pour la première fois un forum littéraire au CCAC. L'invitée était Irène Frain, auteur à succès dont la notoriété n'était pas parvenue jusqu'à Madagascar: la salle était presque vide...
Je ne sais si Irène Frain s'est souvenue de son passage ici. Toujours est-il que son dernier ouvrage, Les naufragés de l'île Tromelin, raconte l'histoire vraie de l'Utile, un navire parti de Foulpointe le 23 juillet 1761, avec à son bord 140 hommes d'équipage et 160 esclaves malgaches. L'embarcation se brise sur un récif, tous ne périssent pas... Les marins construisent un bateau de fortune, repartent vers Foulpointe et abandonnent les Malgaches. Quinze ans plus tard, le chevalier de Tromelin, qui donne son nom à l'île, récupère les huit derniers survivants de cette extraordinaire épopée.
Max Guérout, spécialiste d'archéologie navale, s'est intéressé à ce naufrage et a conduit deux campagnes de fouilles à Tromelin en 2006 et 2008. Le Monde résume les recherches et leurs résultats. Dont Irène Frain s'est emparée, à la demande de Max Guérout, pour écrire son livre. Les naufragés de l'île Tromelin se classe quatorzième cette semaine dans les meilleures ventes de romans selon Livres Hebdo.
Pour en savoir plus sur les recherches archéologiques menées avec le soutien de l'Unesco, on consultera le site Tromelin: les esclaves oubliés.
P.S. Je me réjouissais, hier matin, de la réouverture à Tana de la librairie Lecture & Loisirs. Je me suis rendu hier au Tana Water Front... et je ne l'ai pas trouvée. L'enquête continue.
Je ne sais si Irène Frain s'est souvenue de son passage ici. Toujours est-il que son dernier ouvrage, Les naufragés de l'île Tromelin, raconte l'histoire vraie de l'Utile, un navire parti de Foulpointe le 23 juillet 1761, avec à son bord 140 hommes d'équipage et 160 esclaves malgaches. L'embarcation se brise sur un récif, tous ne périssent pas... Les marins construisent un bateau de fortune, repartent vers Foulpointe et abandonnent les Malgaches. Quinze ans plus tard, le chevalier de Tromelin, qui donne son nom à l'île, récupère les huit derniers survivants de cette extraordinaire épopée.
Max Guérout, spécialiste d'archéologie navale, s'est intéressé à ce naufrage et a conduit deux campagnes de fouilles à Tromelin en 2006 et 2008. Le Monde résume les recherches et leurs résultats. Dont Irène Frain s'est emparée, à la demande de Max Guérout, pour écrire son livre. Les naufragés de l'île Tromelin se classe quatorzième cette semaine dans les meilleures ventes de romans selon Livres Hebdo.
Pour en savoir plus sur les recherches archéologiques menées avec le soutien de l'Unesco, on consultera le site Tromelin: les esclaves oubliés.
P.S. Je me réjouissais, hier matin, de la réouverture à Tana de la librairie Lecture & Loisirs. Je me suis rendu hier au Tana Water Front... et je ne l'ai pas trouvée. L'enquête continue.
Merci merci. Le drame des esclves de Tromelin meritait s'etre racontee et connue par le grand public. Je me dirige de ce pas vers amazon.com
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