Ils auraient tort de se
plaindre à Madagascar.
On leur offre, sinon le
tabac à l’œil, tout au moins le parfum gratuit.
Voici, en effet, ce que
nous lisons dans notre excellent confrère le Progrès :
« Parmi les nombreux
privilèges que s’arroge notre Gouverneur, celui d’évacuer ses vidanges en plein
jour et à toute heure de la journée, au nez des passants, n’est pas le moins
désagréable.
» Cependant, nous ne
sommes plus à l’époque où le pot de chambre de Ranavalo était respectueusement
salué de ses fidèles sujets, en dépit ou même à cause de son contenu.
» Un peu plus d’égard
pour le public ne gâterait rien en la circonstance. »
Les Annales coloniales
Madagascar il y a 100 ans - Janvier 1913 est disponible :
en version papier (123 pages, 10 € + frais de port)
en version epub (4,99 €).
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