Le mois de la BD à Tana, c'est reparti pour un tour. La cinquième édition de Gasy Bulles s'ouvre lundi et se prolongera jusqu'au 27 juin au Centre Culturel Albert Camus ainsi qu'à l'Alliance française.
Expositions, ateliers, conférences, animations en tous genres sont programmés pour prouver, si c'est encore nécessaire, comment la bande dessinée est devenue, depuis sa naissance, un art à part entière, qui ne dédaigne pas de quitter l'espace de la page pour grimper aux cimaises des musées ou brûler les planches.
Le site du CCAC est plus indiqué que mon blog pour fournir tous les détails sur cet événement à multiples facettes, où les dessinateurs malgaches occupent tout naturellement la place d'honneur.
Mais je voudrais insister sur la présence de Barly Baruti, chef de file de la bande dessinée congolaise - une des plus riches, sinon la plus riche du continent africain. A la fin des années 80, il travaillait aux studios Hergé, ce qui a forcément laissé des traces - bénéfiques - dans sa formation.
Comme il est aussi musicien, on ne s'étonne pas de la présence, dans son oeuvre, d'un album intitulé Papa Wemba. Mais l'essentiel de sa production est constitué de deux séries réalisées avec Frank Giroud au scénario: Eva K., une trilogie, et Mandrill, dont le septième volume est paru.
A Madagascar, il animera un stage d'initiation aux techniques de la bande dessinée et la réalisation d'une histoire courte. Il sera aussi, le 13 mai, sera interrogé par Anjara Rasoanaivo lors d'un forum littéraire.
Expositions, ateliers, conférences, animations en tous genres sont programmés pour prouver, si c'est encore nécessaire, comment la bande dessinée est devenue, depuis sa naissance, un art à part entière, qui ne dédaigne pas de quitter l'espace de la page pour grimper aux cimaises des musées ou brûler les planches.
Le site du CCAC est plus indiqué que mon blog pour fournir tous les détails sur cet événement à multiples facettes, où les dessinateurs malgaches occupent tout naturellement la place d'honneur.
Mais je voudrais insister sur la présence de Barly Baruti, chef de file de la bande dessinée congolaise - une des plus riches, sinon la plus riche du continent africain. A la fin des années 80, il travaillait aux studios Hergé, ce qui a forcément laissé des traces - bénéfiques - dans sa formation.
Comme il est aussi musicien, on ne s'étonne pas de la présence, dans son oeuvre, d'un album intitulé Papa Wemba. Mais l'essentiel de sa production est constitué de deux séries réalisées avec Frank Giroud au scénario: Eva K., une trilogie, et Mandrill, dont le septième volume est paru.
A Madagascar, il animera un stage d'initiation aux techniques de la bande dessinée et la réalisation d'une histoire courte. Il sera aussi, le 13 mai, sera interrogé par Anjara Rasoanaivo lors d'un forum littéraire.
Yes ! Merci de parler du talentueux Barly Baruti que je n'ai pas vu depuis plus de 15 ans. J'adore son travail et compte sur toi de nous tenir au courant de ses dernières créations (comme de lui passer mes amitiés) et des dessinateurs malgaches en herbe...
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