En réalité, c'est même six puisque la première réédition électronique de Jean-Joseph Rabearivelo groupait Presque-Songes et Traduit de la nuit. Il y a eu ensuite un essai, Quelques poètes I. Enfants d'Orphée; un opéra, Imaitsoanala, Fille d'oiseau; un autre recueil de poèmes, Volumes. Et voici maintenant, cinquième livre électronique (gratuit, comme les autres) et sixième titre, Vieilles chansons des pays d'Imerina.
Il s'agit, si mes informations bibliographiques sont exactes, du premier ouvrage posthume, sorti en 1939, deux ans après la mort de l'écrivain.
Robert Boudry, qui en a préfacé l'édition originale, le décrit comme «un recueil de courts poèmes en prose, conçus le plus souvent sous forme de petits discours ou de dialogues, suivant une esthétique semblable. On y trouve d'anciens hain-teny devenus classiques que l'auteur se borne à transcrire dans notre langue, d'autres modernes, parmi lesquels il est malaisé de distinguer ceux qui sont originaux de ceux qui sont empruntés, d'autres enfin qui sont des paraphrases ou des adaptations.»
Le préfacier ajoute: «Ces Vieilles chansons, puisées aux sources mêmes de la tradition des Hauts-Plateaux, évoquent et fixent ce qui constitue l'essentiel de la poésie de l'Imerina, le précieux et le familier, le mythique et le réaliste.»
La préface n'est pas libre de droits et n'apparaît donc pas dans notre réédition. Vous trouverez ce cinquante-sixième ouvrage de la collection sur le site de la Bibliothèque malgache, rubrique Bibliothèque malgache électronique - vous connaissez la chanson...
Il s'agit, si mes informations bibliographiques sont exactes, du premier ouvrage posthume, sorti en 1939, deux ans après la mort de l'écrivain.
Robert Boudry, qui en a préfacé l'édition originale, le décrit comme «un recueil de courts poèmes en prose, conçus le plus souvent sous forme de petits discours ou de dialogues, suivant une esthétique semblable. On y trouve d'anciens hain-teny devenus classiques que l'auteur se borne à transcrire dans notre langue, d'autres modernes, parmi lesquels il est malaisé de distinguer ceux qui sont originaux de ceux qui sont empruntés, d'autres enfin qui sont des paraphrases ou des adaptations.»
Le préfacier ajoute: «Ces Vieilles chansons, puisées aux sources mêmes de la tradition des Hauts-Plateaux, évoquent et fixent ce qui constitue l'essentiel de la poésie de l'Imerina, le précieux et le familier, le mythique et le réaliste.»
La préface n'est pas libre de droits et n'apparaît donc pas dans notre réédition. Vous trouverez ce cinquante-sixième ouvrage de la collection sur le site de la Bibliothèque malgache, rubrique Bibliothèque malgache électronique - vous connaissez la chanson...
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